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    Page 11 sur 777 résultats pour la recherche "entretien avec alain blottière" :
  • ...autres, l’une en marche avant, l’autre en marche arrière, qu’elle employait dans tous ses rapports avec autrui. La première avait la force irrésistible et tranquille d’un camion lourd sur la route. Ses yeux ne s’égaraient ni à droite ni à gauche, mais suivaient tous les détours de...

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  • ...un premier roman d’une auteure âgée de moins de vingt-cinq ans. Alors que Lili Nyssen faisait (avec talent) le récit du premier amour (1) , Claire Baglin raconte le premier travail. La « salle » du titre, c’est en effet celle du fast-food où sa narratrice, fille d’ouvrier, et qui...

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  • ...« J’ai fait comme si de rien n’était » est une phrase clé.   Cette violence omniprésente va de pair avec une impression de vitalité intense. « Meute humaine aux cheveux noirs », nos jeunes héros s’ébattent, « englués dans l’infâme torrent des désirs ingrats ». Les...

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  • ...demande à y habiter, dans un local désaffecté. On a vu un loup sur le terrain. Toute la nuit, en alternance avec son collègue Clemens, l’héroïne fixe les écrans de surveillance. Pas de loup. Jusqu’à ce qu’il se mette à apparaître, de temps à autre, dans un coin de la pièce où la...

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  • ...justification possible du procédé, on la trouve parfois. Elle est alors plus ou moins convaincante.   Deux exemples, avec deux livres que leur dimension documentaire permettrait seule par ailleurs d’associer – d’assez loin.   Copeaux de bois , Anouk Lejczyk (Éditions du Panseur)   Il y...

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  • ...d’emblée, même si le mot figure en couverture, au magasin des curiosités historiques. Cependant, un centre se dessine : Bergen, ville natale de l’écrivain norvégien, avec son milieu littéraire et artistique, ses rues, son port. On y vient progressivement, à travers des cercles...

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  • ...rêver, sur le sujet, réflexion plus matoise et plaisamment vertigineuse que le livre d’Alex Capus, traduit avec brio par Emmanuel Güntzburger. Voilà un ouvrage sous-titré en toute honnêteté apparente « récit » (et non « roman », quelle audace par les temps qui courent !), qui se...

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  • ...on ne devrait donner des tickets de quai qu’après un examen sérieux, il essaya de débarrasser son visage de toute expression susceptible de trahir, avec simplicité ou peut-être avec une grande beauté, ses sentiments envers la personne qu’il attendait. »   J. D. Salinger, Franny et Zooey

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  • ...les juifs ukrainiens qui rêvent de l’Amérique, le monde, en 1907, est bien dur. Mais le petit Motl raconte le malheur avec une verve désopilante et un talent étourdissant. Pour lire l’article, cliquez ici .   Cabane , Millie Duyé (Le Nouvel Attila) Une fille construit des cabanes, au...

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  • ...« Voilà ! Je suis parti plus loin que les Antilles,    Vers des pays nouveaux, lumineux et subtils.    Je n’emporte avec moi, pour toute pacotille,    Que mon cœur… Mais les sauvages, en voudront-ils ? »   Quant à Jean Dézert… La redondance qui, dans le titre encore, associe...

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