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Par Pierre Ahnne dans Notes de lecture le 3 Novembre 2018 à 09:38...comme elle y était entrée, silhouette svelte et fluide avalée par l’auto noire ». Bref, comme le dit un des personnages, « la disparition (…) c’est comme une drogue. Tous, dans le roman d’Hélène Gestern, en sont sévèrement dépendants. Et cette manie de l’évanescence...
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Par Pierre Ahnne dans Notes de lecture le 7 Octobre 2017 à 09:57...nouvelles ni même, à proprement parler, un récit. Et l’impossibilité de faire entrer le livre d’Hélène Gestern dans des catégories préétablies suffirait déjà en elle-même à faire une partie de son intérêt. L’écrivaine de Nancy évoque , donc (parlons, faute de mieux,...